Parce qu'il y a un début à chaque histoire, il faut commencer par le début. Planter un décor, définir une époque, instaurer quelques lois et décrire la population. Voilà par quoi nous allons débuter notre histoire, avec ce traditionnel "Il était une fois" digne d'un conte de fées. Il est temps à présent de plonger au coeur du récit, de s'imprégner de l'univers du cette nouvelle fantastique et de partir à l'aventure.

Contexte Règlement Description des groupes

On pense pouvoir se cacher derrière un masque, mais notre personnalité se révèle à travers le choix de notre costume. C'est la question de l'être et du paraître, de l'écart entre nos pensées et nos paroles, nos actes et nos ambitions. Mais à force de tenir le rôle de celui que nous ne sommes pas, savons-nous encore qui nous sommes véritablement? N'avons-nous pas fini par devenir celui que nous prétendons être? Quelle complexité, quel drôle de carnaval que toutes ces personnes qui défilent sans même savoir où elles vont...

Postes vacants Scénarios

L'apprentissage est un long processus qui ne s'arrête jamais. Certains sont autodidactes, certes, mais la plupart d'entre nous ont besoin d'un précepteur pour comprendre, d'une aide extérieure pour assimiler tout ce qui est à savoir. Demander de l'aide n'est pas un signe de faiblesse, au contraire, c'est un signe d'intelligence. C'est montrer notre volonté à y arriver, notre détermination à aller jusqu'au bout de ce qu'on entreprend.

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On ne peut pas débarquer comme ça, sans crier garde. Des présentations sont toujours nécessaires, si possible dans les règles de l'art. Il y a des protocoles, des règles de courtoisie et de bienséance. On commence par énoncer son nom, on se présente brièvement, et puis on va plus loin, dans les détails, dans le temps, peut-être même dans l'espace. On met des mots sur des évènements, des qualités, des défauts, on trouve le courage de se dévoiler aux autres. En somme, on se présente, car c'est là le premier pas pour nouer des relations.

bottin des avatars présentations en cours présentations validées présentations refusées

Certains pensent qu'ils n'ont besoin de personne pour vivre. Mais c'est faux. On a tous besoin les uns des autres, d'une façon ou d'une autre. Ce n'est pas toujours évident d'accorder sa confiance, et bien souvent les autres nous déçoivent. Mais il vaut mieux ressentir de la déception que ne rien ressentir du tout, être souffrant plutôt qu'insensible. C'est grâce aux autres qu'on devient qui on est, c'est grâce aux autres que notre existence a un sens.

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Sur une petite colline, au milieu d’une vaste plaine, s’élève Aydindril, avec ses murailles imposantes et son château. La vue est imprenable sur le reste de la région, et l’ennemi peut être repéré plusieurs heures avant qu’il n’atteigne les portes de la capitale. C’est à Aydindril que siège le roi, entouré de sa famille et de ses serviteurs. On y trouve aussi toute la Cour, se sentant à l’abri derrière ces murailles de pierre, vivant de son commerce et de son artisanat. Aydindril est le lieu le plus peuplé de toute la région, et c’est sans doute là que réside toute la vie, grâce à ses nombreuses fêtes et banquets. A Aydindril, il n’y a pas de magie, il n’y a que danse, rires et négoces. Aydindril, c’est la vie dans toute sa simplicité.

le château la cour

Tout le monde n’a pas le privilège, ou simplement l’envie de vivre à la Cour. Certains préfèrent s’éloigner un peu dans toute cette agitation, se construire un petit havre de paix et élever sa famille loin de la débauche. C’est avec ces idéaux qu’est peu à peu né Zalem, un petit village près du château, une sorte de communauté peu nombreuse, où les gens s’entraident et se soutiennent, où l’égoïsme ne l’emporte pas sur l’humanité. Zalem est donc une toute petite ville, très tranquille, où les habitants vivent de leurs récoltent et de la chasse. Sans protection, elle représente toutefois un lieu dangereux à vivre en temps de guerre, car elle est une cible facile bien que sans réelle importance comparée à l’objectif du combat.

la fôret le village

On se croirait dans un conte de fées. A Gil’Ead, la nature a repris ses droits de façon harmonieuse, avec de longs tapis verts fleuris, des cascades au clapotis mélodie et un panorama surplombant toute la région. Si les dragonniers ont choisi cet endroit pour vivre en communauté, ce n’est pas uniquement pour la beauté du paysage, mais également pour parcours d’aventurier. Gel’Ead, du simple fait d’être une montagne, offre en effet de nombreuses possibilité d’entraînement, alternant constamment les plats et les crevasses, les lacs et la verdure.En d’autres termes, ce petit coin de paradis appartient aux dragonniers et à leurs montures, qui y vivent en communauté depuis des siècles. C’est leur habitat, et également leur terrain d’entraînement. La nature survient à leurs besoins, et ils ne manquent de rien.. si ce n’est peut-être d’une compagnie autre que celle des dragonniers eux-mêmes. Car, si ces montagnes sont des plus magnifiques, elles sont aussi des plus effrayantes pour ceux qui ne comprennent pas grand-chose à la magie, à cause de toutes ces créatures qui rôdent entre les arbres.

la montagne la communauté des dragonniers

Les montagnes de Qeynos sont tellement hautes que leur cime se trouve toujours au-dessus des nuages. Leurs pentes raides et acérées comme des lames de couteaux découragent tout voyageur, de même que leurs forêts si denses qu’elles ne laissent pas le soleil s’infiltrer entre les branches sèches. C’est un endroit sinistre, où même les animaux n’osent s’aventurer. Pourtant, c’était l’endroit rêvé des sorciers. Là-bas, personne n’osait les affronter. Les montagnes leur appartenaient, ils pouvaient s’y abriter tout en gardant un œil sur les mouvements de l’ennemi. Du haut de leurs hautes montagnes, les sorciers ont donc trouvé un refuge hostile pour les assaillants mais dans lequel ils se sentent vraiment chez eux. Dans les montagnes de Qeynos, les sorciers n’obéissent donc qu’à leurs propres règles.

la montagne le repère des sorciers

Toutes ces belles manières, comme c'est épuisant! Parfois, on a simplement envie de dire ce qu'on a sur le coeur, sans faire de rimes ou de métaphores, simplement parler, ouvertement, clairement, communiquer avec les autres, les faire rire, et rire aussi à son tour, être honnête, être soi-même, oublier pendant un instant toutes les conventions sociales et simplement passer un moment agréable avec des personnes que l'on ne connaît pas forcément.

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On a tous besoin d'alliés, pour se soutenir, pour s'entraider. Il suffit d'un simple accord pour créer cette fidélité, un compromis bilatéral qui satisfasse les deux parties. C'est aussi simple que cela. Proposer son aide et attendre celle de l'autre en échanger. Signer un bout de papier, et le marché est conclu. Je t'aides, tu m'aides. Malheureusement parfois, un traité ne peut se faire. Peut-être que dans des conditions plus favorables...

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Rien ne se perd, ni ne se crée, tout se transforment, diront plus tard les grands chimistes. A Lothalindra, cette simple règle est connue depuis les temps les plus reculés. C'est pourquoi ils ont instauré une sorte de corbeille aux souvenirs, où chacun peut venir se recueillir afin de ne pas oublier son passé, son histoire. Cette fontaine de jouvence n'oublie pas le moindre détail et peut donc aider tout voyageur s'arrêtant là à se remémorer des évènements oubliés.